Dans son billet, « The Forever Negotiations », Daniel Bodansky explore les négociations en cours dans le contexte du changement climatique. Bodansky note la nature unique de la négociation sur le climat par opposition aux autres négociations multilatérales sur l’environnement tout en se concentrant sur les négociations de la COP27. En outre, il aborde les questions d’atténuation et d’adaptation ainsi que les politiques relatives aux « pertes et dommages » qui étaient au centre de la COP27.
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Susan Power examine la résolution de l’AGNU demandant un avis consultatif à la Cour internationale de Justice (CIJ) sur le statut juridique de l’occupation par Israël du territoire palestinien et les conséquences qui en découlent. Power soutient que même si le concept d’occupation est un concept dérivé de la juste à bellola demande d’avis consultatif invite à une large analyse des deux jus ad bellum autre juste à bello considérations. En outre, elle note la discussion en cours sur la législation dans ce contexte et l’importance de la résolution adoptée par la Commission politique spéciale et de la décolonisation.
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À la suite du retrait des forces américaines et internationales en juillet 2021 et de la prise de pouvoir des talibans qui a suivi, Meltem Ineli-Ciger et Nikolas Feith Tan examinent le statut pertinent des femmes et des filles afghanes fuyant le pays en vertu de la Convention relative au statut des réfugiés (Convention de 1951). Les deux concluent que :
« Cette note d’analyse confirme que toute femme ou fille quittant l’Afghanistan suite à la prise du pouvoir par les talibans ou celles qui se trouvaient déjà à l’étranger peuvent être considérées comme ayant une crainte fondée d’être persécutée en raison de leur appartenance à un groupe social. Compte tenu de la situation en Afghanistan en décembre 2022, toutes les femmes et filles afghanes devraient être acceptées comme réfugiées en tant que groupe et ne pas être tenues de prouver un risque individuel de préjudice grave. Par conséquent, nous concluons que la pratique de l’agence suédoise des migrations est un développement important que d’autres États d’asile sont invités à suivre.
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« Sans voies d’arrivée sûres, les navires humanitaires exploités par des ONG contribuent à garantir l’accès à l’asile en Europe, une garantie qui devrait être garantie par l’UE et ses États membres. Ainsi, en l’absence d’alternatives, toute mesure visant à bloquer les activités de recherche et de sauvetage des ONG entraînera une atteinte au droit de demander l’asile. Des solutions viables doivent être recherchées au niveau politique pour rompre le lien entre débarquement et responsabilité des États, établissant ainsi un mécanisme de relocalisation fiable et permanent qui ne surchargerait pas les États de première ligne en Méditerranée. Cela nécessitera certainement de modifier la boîte à outils juridique de l’UE en matière d’asile, dont la réforme est dans l’impasse depuis déjà plus de 2 ans.