Voici l’essentiel d’un « papier journalistique » que nous venons de identifier sur le web. Le thème va forcément vous intéresser. Car le sujet est « la justice ».
Son titre séduisant (Elle témoigne devant le tribunal de Caen : « J’étais sous son emprise, le cerveau anesthésié ») récapitule tout l’article.
Le chroniqueur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez de ce fait donner du crédit à cette information.
L’éditorial a été diffusé à une date indiquée 2023-04-09 02:14:00.
Publié le
Jeudi 6 avril 2023, Mohamed* a été jugé pour des violences conjugales commises en avril 2022, à Caen (Calvados). Le prévenu n’est pas venu à l’audience, tandis que la plaignante y a pris la parole.
Il lui cogne la tête contre la porte
Cette fois-là, Stéphanie* s’était décidée à porter plainte contre son compagnon, pour cause « d’accumulation« . La dernière scène lui avait fait particulièrement peur, quand il lui a claqué la tête contre la porte du garage.
Face aux policiers, Mohamed commence par nier, puis finit par reconnaître lui avoir cogné la tête mais « s’en être excusé ». Il l’aurait aussi violemment attrapée par les bras. « Quand elle m’a dit qu’elle allait au commissariat, je n’ai pas apprécié », a-t-il expliqué aux enquêteurs.
« Il a dégradé beaucoup de choses chez moi »
Jeudi 6 avril 2023, Stéphanie a pris la parole à la barre du tribunal correctionnel de Caen :
Je suis une thérapie qui me fait du bien. J’ai compris que j’étais complément sous son emprise. Je n’avais plus de vie sociale, une partie de mon cerveau était comme anesthésié.
Elle raconte les quelques années vécues ensemble, les fréquentes menaces de mort, les innombrables crises de colère, les coups, les tentatives d’étranglement. « Très colérique, il a dégradé beaucoup de choses chez moi », poursuit-elle.
Mohamed, qui a déjà connu l’incarcération et compte trois mentions à son casier judiciaire, écope de huit mois de prison, dont cinq mois avec sursis et d’un sursis probatoire de 24 mois. Il a interdiction de contact avec la victime et de paraître à son domicile. Il devra lui verser 600 euros pour son préjudice moral.
*Prénoms d’emprunt.
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