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Sur internet : Tribunal de Nîmes : prison avec sursis pour ce papa « inquiet » qui avait soustrait son enfant à sa mère

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Un fois de plus, ce site va vous exposer un article qui circule sur le web. La thématique est «la justice».

Son titre (Tribunal de Nîmes : prison avec sursis pour ce papa « inquiet » qui avait soustrait son enfant à sa mère) est évocateur.

Le chroniqueur (présenté sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez prendre connaissance de ces révélations en toute sécurité.

Voici lle texte :

Appels malveillants, violation de domicile, violences, menaces, soustraction d’enfant… La litanie des infractions pour lesquelles Antonio, 41 ans, a comparu jeudi 23 janvier au tribunal correctionnel de Nîmes, est particulièrement longue.

Dans le box vitré des prévenus, le papa de Nino (prénom d’emprunt), bientôt 3 ans, est en pleurs. Interrogé par le président Perez, le prévenu explique être « très inquiet » pour son enfant, lorsque celui-ci se trouve avec sa maman, alcoolique. Et encore plus lorsque celle-ci ne répond pas au téléphone.

Frappée au bras, giflée, tirée par les cheveux

Le 29 décembre 2022, Antonio s’était rendu au domicile des parents de son ancienne compagne à Fos-sur-Mer, après d’innombrables appels restés sans réponse. Après avoir escaladé le mur d’enceinte et pénétré dans la maison, il violentait son ex-compagne et menaçait de mort son ex-beau-père qui tentait de s’interposer pour défendre sa fille. Hors de lui, le prévenu récupérait son petit garçon et rentrait à Nîmes.

Ce soir-là frappée au bras, giflée et tirée par les cheveux, la jeune femme debout à la barre du tribunal correctionnel de Nîmes est, ce jeudi 23 février, elle aussi en larme.

« Malgré l’alcool, mon fils n’est pas en danger avec moi. Je suis une bonne maman« , assure la jeune femme bien consciente de sa dépendance et qui bénéficie d’un accompagnement social dans l’éducation de Nino.

Dans ses réquisitions, le procureur Massip, rappelle que l’ensemble des infractions reprochées au prévenu ont été commises alors qu’il se trouvait placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec la mère de son fils.

Conformément à ses réquisitions, Antonio a été condamné à 8 mois d’emprisonnement assortis d’un sursis probatoire de 2 ans.

Il a dix jours pour faire appel de cette décision.

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